Dans un article de la revue Christus (n° 242, avril 2014) [1], un médecin hospitalier, Antoine Neuve-Eglise, parle de l’accompagnement des malades qu’il rencontre. A la place du mot « malade », dans la phrase ci-dessous, on peut mettre l’expression « le plus pauvre ».
Anges et ministres de Dieu
Les malades, j’en suis persuadé, sont des anges et des ministres de Dieu qui nous ouvrent au monde visible et invisible pour nous faire contempler sa face.
[1] On peut consulter, avec profit, le site de la revue Christus : www.revue-christus.com