Un texte de Christian Bobin, dans L’homme qui marche, Cognac, éd. Le temps qu’il fait, 1995, p. 11.
C’est ce qu’il s’épuise à nous dire, l’homme qui marche : ne me regardez pas, moi. Regardez le premier venu et ça suffira, et ça devrait suffire.
Un texte de Christian Bobin, dans L’homme qui marche, Cognac, éd. Le temps qu’il fait, 1995, p. 11.
C’est ce qu’il s’épuise à nous dire, l’homme qui marche : ne me regardez pas, moi. Regardez le premier venu et ça suffira, et ça devrait suffire.