Cet aphorisme se trouve dans le livre d’Henri de Lubac, Paradoxes, Paris, Le Caillou blanc, éd. du Livre français, 1946, p. 114.
Sans le souci de ses conséquences sociales et temporelles, la vie spirituelle et liturgique est faussée.
Cet aphorisme se trouve dans le livre d’Henri de Lubac, Paradoxes, Paris, Le Caillou blanc, éd. du Livre français, 1946, p. 114.
Sans le souci de ses conséquences sociales et temporelles, la vie spirituelle et liturgique est faussée.