Pour donner envie de lire,
et de vivre,
l’exhortation apostolique
du pape Léon XIV
Dilexi te (Je t’ai aimé).
Jean-Claude Caillaux (fondateur de La Pierre d’Angle)
[Les numéro entre parenthèses sont les références à l’exhortation.]
« L’Église est « la mère des pauvres. » Dilexi te, 39, 84 ; voir aussi 75.
Il n’aura pas fallu longtemps pour que le pape Léon XIV manifeste très clairement qu’il est habité par le souci des très pauvres, davantage même par la nécessité de donner la priorité aux très pauvres si l’Église et les fidèles en son sein veulent être fidèle à la suite du Christ, lui qui, l’exhortation le souligne fortement, a vécu dans la pauvreté et a fait le choix de s’approcher en priorité de ceux qui étaient les exclus de l’Israël de son temps.
Ce qui frappé d’emblée, même un lecteur pressé, c’est l’impressionnante continuité avec le pape François : c’est une reprise de l’essentiel de son enseignement quand il parlait des pauvres. Non seulement une reprise mais un approfondissement : le pape Léon XIV prend appui sur François, et trace sa propre voie avec amplitude. Il n’hésite pas à exprimer sa pensée de manière tranchée, notamment en ce qui regarde les inégalités sociales. Je ne résiste pas, à ce sujet, à citer la lettre aux Hébreux : « La parole de Dieu est efficace et plus incisive qu’aucun glaive à deux tranchants […] elle peut juger les sentiments et les pensées du cœur » (He 4, 12).
Quelques premiers éléments au sujet de ce texte très important.
Pour lire ces premiers éléments important donnés par Jean Claude Caillaux, cliquer sur ce lien