Deux groupes réfléchissent sur que signifie l’expression « pierre d’angle », à partir du texte d’Ac 4, 10-11 : « Jésus Christ le Nazaréen, celui que vous, vous avez crucifié, et que Dieu a ressuscité des morts […]. C’est lui la pierre que vous, les bâtisseurs, avez méprisée, et qui est devenue la pierre d’angle.»
Premier groupe
– La pierre d’angle c’est ce qui tient tout ensemble. C’est une pièce essentielle.
C’est une force qui met ensemble tous les gens qui ont été rejetés.
– C’est la pierre qui permet de tout mettre à l’équerre.
– Si la pierre d’angle s’effondre, tout s’écroule, tout devient fragile.
– Avec une toute petite pierre on peut construire quelque chose.
– La pierre a été rejetée, mais elle est revenue pour être encore plus forte, et pour construire les cathédrales.
– Ça parle de Jésus de Nazareth.
– Vous l’avez brisé sur la croix, mais il revient encore plus fort. La pierre a été rejetée, mais elle est toujours là.
– Je pense que Dieu est vivant en nous. On le porte en nous.
– Et on a une mission. Notre mission c’est de dire aux autres que Dieu existe, qu’ils ne sont pas tout seuls.
La pierre, elle rassemble les hommes.
Cette pierre, c’est la fraternité, c’est la continuité. On existe grâce à cette pierre, elle nous porte, parce que nous on est le reste de la maison.
C’est la pierre du rassemblement, on pourrait l’appeler.
– Le Christ, c’est lui qui nous donne la vie.
– La pierre d’angle, c’est un grain de sable, et on peut se protéger comme ça. La pierre d’Angle c’est une forme de protection.
– On est tous complémentaires, on a besoin des uns des autres.
Deuxième groupe
– On est tous des pierres d’angle. Il faut qu’on soit tous soudés les uns les autres.
– La fragilité, c’est qu’il a été crucifié, et la force c’est qu’il est ressuscité.
– Les bâtisseurs ont rejeté une pierre qui ne correspondait pas à leurs critères, qui n’était pas conforme à leurs idées. Mais cette pierre c’est devenu la pierre d’angle, c’est-à-dire la pierre qui supporte tout l’édifice, la pierre sur laquelle on monte l’édifice. Quand on ne correspond pas aux critères des uns et des autres, on est rejeté, méprisé, mais on peut être utile à une construction et utile les uns pour les autres.
– La pierre rejetée, c’est Jésus quand il a commencé de guérir les malades.
– Il ne faut pas mépriser autrui dans la vie, parce que tu ne donnes pas de valeur, et c’est lui qui peut construire le monument.
– Le Christ, c’était la meilleure pierre.
Le centurion qui dit « Celui-ci était le Fils de Dieu » quand Jésus meurt sur la croix.
Jésus et rejeté, mort, et le centurion dit « C’est le fils de Dieu ».
– « Père, pardonne-leur ils ne savent pas ce qu’ils font. »
– Le Christ, quand ils l’ont crucifié il était faible. Mais après ça s’est inversé, car quand il a été ressuscité, c’est eux qui sont devenu fragile et lui il est devenu fort. Et le centurion il a vu ce revirement.
– Quand il y a une brique qui a mauvaise allure, on la jette, mais quelquefois elle est plus solide.