La misère est toujours un pôle de ralliement et de rassemblement des hommes.
Ils s’approchent, ils cherchent à comprendre, à libérer. Ils ne font peut-être pas toujours ce qu’il faut, mais celui qui a rencontré la grande pauvreté est marqué pour la vie.
Les pauvres sont l’Eglise, p. 66.